Partir faire ses études à l’étranger est une aventure formatrice, que ce soit dans le cadre d’un échange ou d’une démarche individuelle. Différentes opportunités s’offrent à vous selon votre niveau d’études, vos objectifs et vos ressources.
Avant le bac : Vous pouvez intégrer un lycée français à l’étranger ou vivre une année scolaire dans un établissement local. Attention : ces expériences sont souvent coûteuses et leur reconnaissance en France n’est pas automatique.
Après le bac : Le baccalauréat est généralement reconnu dans l’UE, mais chaque université peut avoir ses propres critères d’admission. Hors UE, des tests ou examens peuvent être requis.
Après un bac+2 : Il n’existe pas toujours d’équivalences à ce niveau, il est donc probable que vous intégriez la première année d’un cursus.
Après un bac+3 : C’est souvent le moment idéal pour une mobilité. Le système LMD (Licence-Master-Doctorat) facilite les équivalences en Europe.
Vous devrez chercher un établissement, vous inscrire et parfois faire reconnaître vos diplômes (via le réseau ENIC-NARIC). Une bonne anticipation est essentielle : commencez vos démarches un an à l’avance.
Des programmes comme Erasmus+ (scolaire, enseignement supérieur ou formation professionnelle), les Masters conjoints Erasmus Mundus, ou encore des accords interuniversitaires permettent de partir plus facilement tout en bénéficiant d’un accompagnement et parfois d’aides financières.
La césure est aussi une option intéressante pour s’engager dans un projet personnel ou professionnel à l’étranger, tout en conservant son statut étudiant et ses droits.
Erasmus+ : offre une bourse mensuelle selon le pays et le niveau d’études.
Aide à la mobilité internationale (AMI) : 400 €/mois pour les étudiants boursiers partant dans le cadre de leurs études.
Bourses nationales, européennes ou privées : selon votre profil et votre projet.
Pour en savoir plus sur les démarches, les aides et les programmes, visitez le site euroguidance-france.org ou www.etudiant.gouv.fr.
Consulter le Guide Destination Europe (et un peu plus loin) au départ de l’Occitanie